Ce projet piloté par la FPLC fait partie du millésime très particulier des plus intéressantes réalisations architecturales sélectionnées par le jury des 9èmes Prix de l’immobilier romand, organisés par Bilan en partenariat avec le SVIT Romandie.
Le projet Adret Pont-Rouge, lots B+C, Lancy (Genève) reçoit le 3ème Prix, catégorie Bâtiment résidentiel mixte Architecte: Lopes & Perinet-Marquet Maître d’ouvrage: FPLC, Fondation Nicolas Bogueret (FNB), Société coopérative CoopLog Pont-Rouge (CCPR)
Depuis neuf ans, le magazine Bilan met sur pied un concours récompensant les productions architecturales les plus prometteuses de Suisse romande réparties en dix catégories. Le jury analyse le volet architectural de chaque réalisation, mais aussi son aspect économique, fonctionnel, voire parfois social (mixité sociale et/ou générationnelle).
Le projet Adret Pont-Rouge, lots B+C, Lancy (Genève) se voit décerner le 3ème Prix, catégorie Bâtiment résidentiel mixte. La FPLC, la Fondation Nicolas Bogueret (FNB) et la Société coopérative CoopLog Pont-Rouge (CCPR) y ont collaboré en qualité de Maîtres d'ouvrage.
La FPLC a piloté l'ensemble de l'opération et désigné les partenaires chargés de réaliser les logements d'utilité publique. Une seconde étape avec cinq autres bâtiments sera achevée en 2022.
Trois ans ont suffi à la FPLC pour mettre à disposition 441 logements dans la zone d'Adret Pont-Rouge, à Genève. Alimenté presque totalement par les énergies renouvelables, le quartier accorde une grande place à la nature et favorise le dialogue intergénérationnel avec des logements d'utilité publique, en PPE et pour les personnes âgées.
À Lancy, l'association des Vernets d'Arve fête son nouvel immeuble destiné à soutenir les femmes aux pensions modestes, vivant seules ou à la tête d'une famille monoparentale.
Depuis décembre 2019, après des années de travaux, la gare de Lancy Pont-Rouge, est desservie par le Léman Express. Six mois plus tard, la première moitié du quartier Adret Pont-Rouge peut enfin commencer à accueillir ses habitant·e·s et usager·ère·s. Présentation de l'association de quartier Adret Voies Vives par sa présidente, Sylvie Fischer.
Die erste Etappe des neuen Genfer Quartiers Adret Pont-Rouge ist bezugsbereit. Beim Bahnhof Lancy Pont-Rouge sind 441 Wohnungen in zehn Gebäuden entstanden.
Construit aux abords de la la voie du Léman Express, le quartier mise sur un important aménagement paysager. L'ensemble immobilier compte déjà 440 logements et accueillera à terme 1'800 personnes. Point de situation sur les projets immobiliers qui se sont multipliés autour des gares de liaison ferroviaire.
L’Adret Pont-Rouge, éco-quartier intergénérationnel chauffé à la géothermie, écologique et qui fait la part belle à la nature, a accueilli ses premiers habitants. Judith Monfrini vous en parle sur Radio Lac.
Un ambitieux et immense ensemble immobilier entièrement repensé pour oublier au passage les nuisances et les dangers de la voie ferrée toute proche. Le gamin de Lancy que je suis n’aurait jamais imaginé possible de relever avec succès un tel défi. Témoignage de Giancarlo Mariani.
La fondation a terminé la première phase de travaux du quartier de l'Adret Pont-Rouge à Lancy et livre 10 immeubles, soit 441 logements. Les habitants commencent à prendre possession des lieux alors que la deuxième phase des travaux se poursuit.
78% des logements sont d’utilité publique (LUP), 22% constituent de la propriété par étage. Cette proportion vise à garantir un équilibre financier et à maintenir une certaine mixité sociale. Le nouveau quartier est alimenté par 90% d’énergie renouvelable. Les 300 sondes géothermiques récupèrent la chaleur de la terre à 300 mètres de profondeur pour chauffer les immeubles en hiver.
Certains acquéreurs d’appartements et de maisons sont contraints de payer des frais extraordinaires importants. À l’Adret, 96 familles sont épargnées. Explications et mesures prises par la FPLC à l'égard des futurs résidents.
Le quartier du PAV (Praille-Acacias-Vernets) se transforme. Pendant des dizaines d’années, la Praille et ses abords sont promis aux grandes mutations urbaines. C’est à qui y construira la plus belle tour. Effet d’entraînement garanti. Audaces enfin permises dans un canton d’habitude timide dans ce domaine.
La FPLC loue à l’Université de Genève des studios sous forme de préfabriqués modulaires permettant de loger une trentaine d’étudiants. Ces logements à part entière, installés sur un terrain non constructible situé chemin des Corbillettes dans la commune de Vernier, pourront être aisément déplacés si le terrain venait à être déclassé.
Au cœur du nouveau quartier lancéen en construction à deux pas de la première gare du CEVA, un bel immeuble ensoleillé de la Société coopérative Cooplog Pont-Rouge accueillera ses habitants, dès le deuxième trimestre 2020. L’opération relève haut la main le défi du bien-vivre sur ce site initialement plutôt aride.
Terrains attribués et structures renforcées, le secteur des coopératives genevoises se développe : à ce jour, 90'681 m2 de surfaces brutes de plancher ont déjà été attribuées par le canton, pour un potentiel d’environ 900 logements. L’engagement d’un responsable coopératives à la Fondation pour la promotion du logement bon marché et de l’habitat coopératif (FPLC) et d’une secrétaire générale au Groupement des coopératives d’habitation genevoises (GCHG) facilitent les démarches administratives et améliorent la gestion des projets. Ces résultats sont le fruit du « plan d’action Coopératives » présenté fin 2016 par Antonio Hodgers, Conseiller d’État chargé du département de l’aménagement, du logement et de l’énergie (DALE), ainsi que par les représentants de la FPLC et du GCHG.
Quinze immeubles verront le jour à proximité immédiate de la gare CEVA de Lancy Pont-Rouge. Ce nouveau quartier abritera 640 logements – dont 80% d’utilité publique (LUP) – pour 1800 habitants. Un projet d’envergure, qui représente l’un des plus grands chantiers à haute performance énergétique de la région.
Des studios modulaires et provisoires ont été montés au chemin des Corbillettes. Ces logements sont issus de la nouvelle formule proposée par l'Université de Genève qui permettra de loger une trentaine d'étudiants.
Selon M. Aumeunier, député PLR, la FPLC "thésaurise" des terrains et peine à réaliser des logements. Or la FPLC ne construit pas, mais acquiert des terrains qu'elle remet aux fondations immobilières / coopératives de droit privé.
«À échanger : villa neuve, au calme, contre votre propriété en zone de développement. » L’annonce a paru cette semaine dans un journal de petites annonces. Elle surprend. Peut-on faire du troc dans l’immobilier, un marché où tout se compte en millions ? Dans certains cas, oui.
Dans le sillon du hameau mobile pour les démunis, deux projets sont à l’étude : l'un pour le logement relais et l'autre pour des étudiants. Le principe ? Offrir des logements dans des containers facilement déplaçables. Utiliser cette solution pour occuper des terrains « bloqués » dans l’attente d’un projet immobilier.
Un grand trou derrière une palissade en bois. Les pelleteuses ont commencé à s’affairer cet été au bord de la route de Meyrin, au-dessus du quartier de la Servette. C’est le premier chantier d’une longue série qui devrait aboutir à la construction, à terme, de plus de 1000 logements.
Afin de continuer à développer le parc de logements d'utilité publique à Genève, la Fondation pour la promotion du logement bon marché et de l'habitat coopératif (FPLC) initie une nouvelle démarche à l'intention des propriétaires, dans le cadre de ses acquisitions foncières en Zone de développement (où elle recherche en priorité des terrains): un système d'échange, soit une parcelle en zone de développement contre une villa. Explication dans l'article de Tout l'Immobilier.
Deux semaines après le refus par le Grand Conseil genevois de créer une fondation pour le logement des jeunes, la Gauche dépose un nouveau projet de loi. Elle propose de donner plus de moyens à une fondation existante.
Toujours en manque de logements, les Universitaires pourront bientôt investir un tout nouvel immeuble. Disposant de 40 chambres peu gourmandes en énergie, il leur permettra de dormir, de réviser dans le calme et de faire la fête en collectivité.
Les Fondations immobilières de droit public (FIDP) sont un acteur incontournable du marché immobilier genevois. Elles ont pour vocation de développer, d'entretenir et de gérer le parc de HBM (habitations à loyer bon marché) genevois, soit quelque 5600 logements. Aux 5 fondations existantes, il convient depuis deux ans d'ajouter la FPLC, héritière directe de la célèbre Fondation Cité Nouvelle II, qui a marqué le paysage immobilier genevois durant 40 ans.
Pour toute demande de logement, y compris en coopérative, veuillez vous rendre sur la page Réalisations et vous adresser au contact mentionné sur la fiche de l'immeuble qui vous intéresse.